Analyse de « the night face up » de Julio cortazar

1004 mots 5 pages

The night face up
« The night face up », de Julio Cortazar présente deux réalités parallèles qui divisent le personnage. Au début, nous pouvons voir une situation dans un Buenos Aires moderna: « le soleil filtrait à travers les grands bâtiments du centre (…). Il a laissé passer les ministères (le rose, le blanc) et la série de boutiques aux vitrines lumineuses de la rue centrale « . D’autre part, le rêve, qui se déroule dans une réalité préhispanique, pendant la « guerre de Floride » (guerre rituelle typique de la culture aztèque qui consiste en la capture et le sacrifice de prisonniers afin de soutenir les dieux), sur le territoire aztèque. Pour accentuer l’ambiguïté et le parallélisme entre les deux personnages, l’homme du…ver más…
XX, tout au long de l’histoire, ces proportions changent, rendant l’histoire attribuée à l’indigène plus longue et plus courte et moins spécifique, dédiée à l’homme moderna, ainsi il est réalisé, à la fin du récit pour rendre plus crédible le fait que la moteca est celle qui rêve et non l’homme de la moto. Par rapport au titre, on peut apprécier la relation avec l’histoire dans la peur que ressentent les personnages face à la nuit, à l’obscurité, toujours face à face, toujours face à l’effrayant mais sans liberté de se déplacer, de fuir ou de réagir de quelque manière que ce soit. Cette histoire est également incluse dans le livre final du jeu; jouer implique d’interagir, de se connecter, de se libérer pour en profiter. Dans « The night face up », le moteca choisit de jouer, de rêver pour se distraire, de se libérer de la situation accablante qu’il traverse. Ce jeu est pour lui un moyen agréable d’atteindre sa fin, à mort. Cortazar cherche chez le lecteur une participation active suscitant la curiosité. Pour cela, il utilise des ressources telles que l’intertextualité, qui ajoute ou cite inexplicablement d’autres histoires, personnages historiques, etc. Pour inclure le narrateur et le piéger dans l’histoire, il utilise des facteurs sensibles dans la description des lieux, des situations, etc. Dans « La nuit face vers le haut », l’odeur, le

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