Corruption du Sang et Confiscation

1499 12 Stat. 589. Cet acte n’a d’ailleurs pas désigné la rébellion comme une trahison.

1500 Miller c. États-Unis, 78 États-Unis (11 Wall.) 268, 305 (1871).

1501 Wallach c. Van Riswick, 92 U.S. 202, 213 (1876).

1502 Affaire de Lord de la Warre, 11 Coke Rept. 1a, 77 Fra. Rept. 1145 (1597). Un certain nombre d’affaires portaient sur l’effet d’une grâce totale accordée par le président aux propriétaires de biens confisqués en vertu de cette loi. Ils ont estimé qu’une grâce totale soulageait le propriétaire de la confiscation en ce qui concerne le gouvernement, mais ne divisait pas les intérêts acquis par des tiers du gouvernement du vivant du délinquant. Cent de l’Illinois. R.R. c. Bosworth, 133 U.S. 92, 101 (1890); Knote c. États-Unis, 95 U.S. 149 (1877); Wallach c. Van Riswick, 92 U.S. 202, 203 (1876); Armston’s Foundry, 73 U.S. (6 Wall.) 766, 769 (1868). Il n’y a pas de décision directe sur la question de savoir si seuls les citoyens peuvent commettre une trahison. Dans Carlisle c. États-Unis, 83 États-Unis (16 Wall.) 147, 154-155 (1873), la Cour a déclaré que les étrangers domiciliés dans ce pays lui doivent une allégeance temporaire et peuvent être punis pour trahison à égalité avec un citoyen natif en l’absence d’une stipulation contraire du traité. Cette affaire impliquait la tentative de certains sujets britanniques de recouvrer des réclamations pour des biens saisis en vertu du Captured and Abandoned Property Act, 12 Stat. 820 (1863), qui prévoyait la récupération des biens ou de leur valeur en procès devant la Cour des réclamations par des personnes qui n’avaient pas apporté aide et réconfort à l’ennemi. Auparavant, dans United States v. Wiltberger, 18 États-Unis (5 Blé.) 76, 97 (1820), qui impliquait une condamnation pour homicide involontaire en vertu d’une loi punissant l’homicide involontaire coupable et la trahison en haute mer, le juge en chef Marshall allant au-delà des nécessités de l’affaire a déclaré que la trahison « est une violation d’allégeance, et ne peut être commise par lui que s’il doit allégeance soit perpétuelle ou temporaire. »Cependant, voir dans re Shinohara, Ordonnances de la Cour martiale, No 19, 8 septembre 1949, p. 4, Bureau du Juge-avocat général de la Marine, rapporté dans 17 Geo. Laver. L. Rév. 283 (1949). En l’espèce, un étranger ennemi résidant sur le territoire des États-Unis (Guam) a été reconnu coupable de trahison pour des actes commis alors que la nation ennemie dont il était citoyen occupait ce territoire. En vertu des précédents anglais, un étranger résidant sur le territoire britannique peut être condamné pour haute trahison sur la base de la théorie selon laquelle son allégeance à la Couronne n’est pas suspendue par l’occupation étrangère du territoire. DeJager c. Procureur général du Natal (1907), A.C., 96 L.T.R. 857. Voir aussi 18 U.S.C. § 2381.

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